Une donation simple peut créer des conflits à votre décès : imaginons que vous donnez 50 000 € à chacun de vos deux enfants.
Si l’un a tout dépensé pendant que l’autre les plaçait dans un bien immobilier qui vaut 200 000 € à votre décès, votre enfant «fourmi» sera supposé avoir reçu 200 000 € et non 50 000 € comme son frère …. ce qui engendrera une compensation de 150 000 € à valoir sur les actifs de la succession.
Si les 50 000 € avait été transmis via une donation-partage, la valeur de cette donation aurait été figée quelle que soit l’évolution des 2 donations dans le temps.
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